Il s’effectue selon différentes méthodes. Pas moins de six coexistent sur le marché (marteau piqueur, brise roche, vérins hydrauliques, soupapes, débordements, jets d’eau à haute pression, etc) sans compter toutes les tentatives les plus absurdes qui reviennent de façon récurrente depuis des décennies et vouées systématiquement à l’échec par méconnaissance de la mécanique des bétons dans leur jeune âge.
Toutes ont recours à des solutions destructives au prix de risques constructifs non maîtrisés, de travaux pénibles et risqués, de délais importants et aléatoires, de nuisances sonores et écologiques importants.
La technique la plus répandue reste d’ailleurs le marteau piqueur. Une solution lente, bruyante, polluante, source d’accident, coûteuse et pathogène.
BARRETTES 150 cm x 100 cm recépés avec leurs murettes guides en un seul bloc. Chantier 59 TRITH ST LEGER, entreprise DEMATHIEU ET BARD.
Paroi moulée largeur 80 cm chantier 13 Port de Marseille entreprise SEFI.
Pieu Ø1800, hauteur recépée 2m, pré-recépé sous 15m d’eau. Levage du bloc fait une fois que la tête du pieu est devenue accessible (6 mois plus tard) – GTM, pont Jacques-Chaban-Delmas, Bordeaux (33)
Pieu Ø1500, hauteur recépée 1,5m, très fortement armé. Résultat après recepage – Dragados, A23 viaduc de Teruel (Espagne)
Pieu Ø2200, hauteur recépée 1,5m, recepage à -3m sous la plateforme. Résultat en fond de fouille sans intervention humaine – Durmeyer, centrale électrique EDF à Carling (57)
Pieu Ø600, hauteur recépée 2,5m. Levage du bloc par l’engin de terrassement
La résistance du béton en traction est 10 fois inférieure à celle de la compression.
L’effort en traction, couplé à la géométrie de l’éclateur, génère une découpe horizontale parfaite à une altimétrie précise au centimètre près, sans risque de micros fissurations sous la zone de recépage.